PUBLICATIONS

Pour participer, se rencontrer et faire avancer la réflexion, envoyez des infos, des commentaires, ou de la documentation (avec vos coordonnées) à:

grangesdechartreuse@gmail.com

Si vous le désirez, nous les publierons sur cette page.

 

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publié le 29/10/2019  par « granges de chartreuse »:

Ca bouge en Chartreuse!! par le bas en tout cas…

A lire et à faire connaître:

https://www.sharetreuse.fr/lettre-de-sollicitation-des-futurs-elus-du-territoire-pour-la-prise-en-compte-de-lurgence-ecologique-et-climatique/

 

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publié le 12 mars 2018  par « granges de chartreuse« :

AVEC NOUS DANS LA REFLEXION

 

Bonjour, Merci pour cet envoi très intéressant que je fais circuler. L’idée est porteuse d’avenir ![…]

Anne Cayol-Gerin www.Lesdiguieres2017.fr Responsable du service patrimoine culturel

patrimoine

Département de l’Isère – Direction de la Culture et du Patrimoine

Bonjour, 

Je suis Alain MONROZIER délégué départemental de l’association MAISONS PAYSANNES DE FRANCE. Votre projet peut nous intéresser, et il serait bien de pouvoir nous rencontrer pour en savoir plus.  […] L’idée, pour nous, serait plutôt de pouvoir organiser une visite au printemps, à l’occasion d’un samedi où nous organisons une journée de rencontres visites pour nos adhérents de l’Isère. Vous nous montrerez alors, si c’est possible, un lieu où vous concrétisez vos idées. 

Avec mes meilleures salutations, 

maison pAlain MONROZIER 

 

Je prends connaissance avec beaucoup d’intérêt de la démarche entreprise autour des granges des Entremonts, via le dossier envoyé par Charly Carron; même si je ne suis pas directement concerné, je tiens à vous apporter mon soutien. Merci de me tenir informé de votre actualité. et si je peux aider que ce soit au travers de mes activités de conteur autour du domaine des plantes, ou autre,  n’hésitez pas à me demander. Bien cordialement,  Yves YGER, Station du Granier, ENTREMONT LE VIEUXherbes

 

Merci pour l’envoi du document et Bravo pour ce combat.

Si vous êtes d’accord, je pourrai en parler lors d’une prochaine séance du cours mensuel que je donne à l’UIAD sur le « patrimoine de proximité« , le 19 décembre ou en janvier. Cela ne peut pas faire de mal…

Je réutiliserais les dessins et photos du doc, […]car mon cours est basé essentiellement sur des images. Plus il y en aura, plus cela marquera les esprits. […]

En tout cas, […] tenez moi au courant.

Dominique Chacel Service Départemental du Partimoine de l’Isèrepatrimoine

 

Bonjour,

J’ai parcouru votre site et ai consulté le dossier approfondi.  Bravo pour la qualité de votre travail!

Je trouve l’idée très bonne et adhère à l’approche technique et réglementaire qui est un passage obligé pour d’une part savoir où l’on va mais aussi pour convaincre les décideurs de l’utilité et de la viabilité de la démarche. 

La diversité possible des activités liées au retour à la vie dans les granges de Chartreuse y est détaillée et nous voyons qu’il y a de nombreux « possibles ».

A partir de ce travail, ne serait-il pas maintenant opportun de préciser le modèle économique d’un « habitant type » de façon à montrer que ce mode de vie peut être auto-suffisant donc viable. 

L’idée pourrait être de montrer que des outils simples, peux coûteux et efficaces permettent de vivre bien et même avec une plus grande qualité de vie que ce que peut nous offrir une société d’hyper-consommation et de haute technologie.

Dans la dynamique d’autonomie liée à un mode de vie au coeur de la nature, les économies sont tellement importantes que les rentrées financières peuvent être de faible niveau.

Une projection comparative entre la vie en milieu urbain et celle imaginée en grange de Chartreuse serait je pense révélatrice.

D’un point de vue technique, Il faut bien entendu travailler sur la qualité bio-climatique des habitats, sur l’usage de l’énergie locale et renouvelable par des moyens de basse technologie, sur l’auto-réalisation d’outils de travail dont certains pourront être collaboratifs, sur la création d’un réseau solidaire locale qui pourra prendre de multiples formes. 

C’est probablement un ensemble d’éléments en inter-relation dynamique qui pourront permettre de construire un modèle social et économique durable de la vie en granges de Chartreuses.

C’est en ce sens que les outils pour l’autonomie que notre association et d’autres proposent peuvent être utiles à la réalisation de modèles alternatifs et épanouissants pour leurs acteurs.

Il est aussi important que des projets comme le votre se concrétisent pour montrer qu’ils sont de l’ordre du possible et non de l’utopie. 

Ainsi ces expériences pourront essaimer!

alterBien à vous. Bruno Lortthiois Alter’ éco 30

 

Bonjour, […] je mets le lien de votre projet sur la prochaine newsletter cela permettra d’informer de nouvelles personnes . N’hésitez pas à nous tenir informés, nous pourrons relayer.

[…] la faBrique des […]est une plateforme nationale où l’on peut faire connaitre ses projets, et faire appel aux compétences des colibris partout en France (juridique, savoirs,  etc…) Peut être que votre projet pourrait y trouver sa place . J’espère sincèrement que cela portera ses fruits.
colibri

Cordialement Corinne SOSSOU

 

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publié le 15 fev 2018  par « granges de chartreuse »:

 

LES PROJETS AU REGARD DU CODE DE L’URBANISME:

Le PLUi n’autorise pas les changements de destination des bâtiments en zone agricole, il ne fait que les identifier, pour laisser l’opportunité à un particulier de déposer ensuite un dossier d’autorisation d’urbanisme, qui lui sera délivré ou refusé par le Maire, après avis d’une commission départementale spécialisée.

Quelques arguments :

· Le projet a un intérêt patrimonial (ne pas générer des ruines + maintien de l’architecture vernaculaire).

· Il n’est pas question de créer des extensions urbaines sur les zones agricoles, mais de réutiliser des bâtiments existants dans leur volume d’origine (donc pas de mitage !).

· Les projets de néo-paysannerie tel que présenté dans le dossier, sont à envisager pour l’avenir de ces granges, mais d’autres évolutions doivent êtres possibles. Le PLUi pourra préciser vers quelle(s) destination(s) ces granges peuvent évoluer. S’agira-t-il alors plutôt de la destination « habitation », sous destination « logement »?

Les projets cités relèvent du projet de vie, d’autosuffisance alimentaire, d’implantation d’actifs, de production agricole, etc , mais pas vraiment « d’exploitations agricoles » .

Il faudra alors trouver comment les traduire de manière concrète dans le PLUi, peut-être en restant plus large sur les occupations futures de ces granges, en ciblant des possibilités d’habitations, et éventuellement d’activité (voir ci-dessous les destinations possibles dans le code de l’urba).

· Ces granges, considérées comme agricoles aujourd’hui, ne pourront sans doute pas être réutilisées pour des agriculteurs en production classique, car les bâtiments ne sont pas adaptés aux pratiques « modernes » des agriculteurs, ainsi le changement de destination ne fera pas défaut au monde agricole.

· Concernant les réseaux, les mairies n’auront pas à payer des extensions induites par de nouvelles occupations de ces granges. En zone agricole ou naturelle (décrites dans le code de l’urba comme des zones équipées ou non équipées!), les communes n’ont pas obligation de raccorder les constructions aux réseaux. Il faudra donc que chaque autorisation d’urbanisme apporte la preuve de l’ autonomie du projet sur le plan de la gestion des eaux pluviales (à croiser avec la présence ou non de risque naturel de glissement de terrain qui empêche parfois l’infiltration), l’assainissement des eaux usées en filière autonome selon les capacités du sol, après accord et selon le règlement local du SPANC, et en eau potable avec source privée à proximité + alimentation électrique solaire ou hydro ou éolienne.

La plupart des granges étant non raccordées aux réseaux, il faut aussi garder en tête que les candidats à l’installation seront peu nombreux, car cela implique des investissements importants pour que la grange fonctionne en autonomie. Il faudrait peut-être évaluer combien de projets pourraient voir le jour sur la durée de vie du PLUi, mais ce ne sera sans doute pas énorme.

· Sur la question de l’accès pompier, ces granges sont parfois desservies par des chemins ruraux ou autre voie publique ou privée. Dans ce cas un accès pompier est possible.

L’article R111-5 du code de l’urbanisme fait bien référence à l’accessibilité du terrain et donc la parcelle ou se trouve le bâtiment. Il y a ensuite des préconisations pour l’accès au bâtiment, mais pas de textes de loi.

 

Retrouvez le documents complet et les liens vers les articles du codes de l’urbanisme dans la rubrique liens/documentation.

 

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publié le 10 déc  2017 par « granges de chartreuse »:

Les bâtiments en zone Agricole et Naturelle peuvent faire l’objet d’un changement de destination, a condition qu’ils soient désignés par le PLU…

 

Voici un extrait de » note-synthese CDPENAF » (rubrique lien/documentation):

« Les changements de destination des bâtiments en zone A et N (bâtiment agricole devenant gîte rural…) sont désormais autorisés pour tous les bâtiments, à condition qu’ils ne compromettent pas l’activité agricole ou la qualité paysagère du site (LAAF). Les bâtiments concernés doivent être désignés dans le règlement du PLU. Les changements de destination requièrent l’avis conforme de la CDPENAF en zone A, ou l’avis conforme de la CDNPS en zone N. L’extension du dispositif à tous les bâtiments devrait permettre de faire évoluer le bâti existant hors STECAL. »

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publié le 25 nov 2017 par « granges de chartreuse »:

Nous avons ici mis en avant quelques extraits de « orientations politiques du plui h cœur de chartreuse (padd) synthèse et remarques des habitants au 19/06/17 ». Les réponses de la 4c aux remarques des habitants sont en rouge:

(voir rubrique: Liens/Documentation – Documents 4c PLUIH)

ORIENTATION 1 : PRESERVER L’IDENTITE CULTURELLE ET NATURELLE CHARTROUSINE

Objectifs n°5 – Valoriser les patrimoines bâtis et culturels identitaire

Remarques : Un groupe d’habitant s’interroge sur les marges de manœuvre que donnera le PLUi-H valant ScoT pour les réhabilitations. En effet ils font remarquer, à juste titre que l’habitat fait partis du patrimoine local et de l’identité chartrousine. Ils soulignent la nécessité de le prendre en compte.

Eléments de réponse apportés : La réhabilitation du bâti ancien et/ou patrimonial est fortement encouragée dans le PADD, dans un objectif de maintien du patrimoine bâti. Un travail doit être mené pour identifier les bâtiments à préserver/ protéger et, le cas échéant, mettre en place des règles pour encadrer les réhabilitions et d’éviter qu’elles ne viennent endommager les caractéristiques du bâti initial.

ORIENTATION 2: ORGANISER LE DEVELOPPEMENT STRUCTURE D’UN TERRITOIRE INTERCONNECTE

Objectifs n°17 – Répondre aux besoins en logements des populations chartrousines par la création et la requalification de logements qualitatifs et diversifiés

Remarques : Réflexion sur les granges et l’habitat isolés : Lorsque les fermes sont classées aux monuments historiques, toutes les rénovations sont compromises par les règles très strictes, et les bâtisses tombent alors souvent en ruine…Lorsqu’elles ne sont pas classées, elles ne peuvent souvent être rénovées qu’en granges, avec absence d’eau et d’électricité. Dans ce cas, elles ne trouvent alors pas d’usages et ne sont toujours pas rénovées… Serait-il possible de les transformer en hébergements touristiques type chalets d’alpage ? Mais contradiction de la part des habitants, qui se plaignent des touristes car ceux-ci s’invitent souvent dans les propriétés privées sans autorisations (faute d’indications prévenant la présence d’une propriété privée…)

Eléments de réponse apportés : en effet, une réflexion sur ce sujet doit être menée dans le cadre du PLUi

ORIENTATION 3: POURSUIVRE ET ACCOMPAGNER LE DEVELOPPEMENT D’UNE ECONOMIE BASEE SUR L’INNOVATION ET L’ECONOMIE DES RESSOURCES

Objectifs n°35 – Atteindre la masse critique qualificative pour permettre au Cœur de Chartreuse de devenir une destination touristique de séjour: consolider l’attractivité séjour

Remarques : Certaines granges isolées abandonnées pourraient-elles alors devenir gîtes d’étape de moyenne montagne sur ces parcours ? Car si l’eau et l’électricité ne peuvent être amenées à ces granges, d’autres solutions peuvent peut-être voir le jour : toilettes sèches, énergie solaire ou éolienne, puits, …

Eléments de réponse apportés : C’est une réflexion en cours dans le cadre du PLUi

 

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